Justice, droit et relations

Il y a 27 ans, je prêtais serment au Barreau de Bruxelles. J’embrassais la carrière d’avocat, rempli d’enthousiasme, avec l’ambition de défendre le plus vulnérables, en particulier les étrangers en situation de séjour précaire.

Cet attachement à la Justice s’est décliné de plusieurs manières. C’est ainsi que j’ai notamment passé 18 ans dans la magistrature où j’ai occupé de nombreuses fonctions, jusqu’à celles de chef de corps.

Autant dire que j’ai vu des miliers de personnes passer entre les mains de la justice. Ce qui m’a frappé, ce sont ces mines tristes ou en colère, ces anciens amants qui se déchirent, ces victimes qui cherchent tantôt la réparation, tantôt la vengeance, ces anciens partenaires en affaires qui se vouent réciproquement aux gémonies,…

Mais aussi des avocats, passionnés ou dépités, des magistrats idéalistes ou pantouflards, ces égos qui se déploient, ces blessures secrètes et qui se lisent néanmoins.

Vintgt-sept ans de procès, de déceptions pour les uns, de victoires à la Pyrrhus pour les autres, de conflits qui ne devraient pas arriver devant un tribunal, ou qui n’auraient pas même dû naître.

C’est ce qui me motive aujourd’hui à proposer de nouveaux chemins.

D’abord, par la pratique du coaching, en accompagnant des magistrats, des avocats, mais aussi des entrepreneurs ou de simples particuliers à prendre leur vie en main et à poser des choix conscients.

Ensuite en suscitant la création ou la transformation de relations paisibles, dans la conscience de leurs motivations sous-jacentes, en fournissant les outils juridiques adéquats, notamment à l’aide des Conscious Contracts. Des contrats fondés sur la richesse des partenariats et non sur la peur de la défaillance de l’autre, motivés par la recherche de collaborations sincères et non la quête d’un profit rapide.

Oeuvrer à la Justice reste mon ambition majeure. Seule la forme a changé pour être plus en phase avec les besoins émergents de la société, que l’institution judiciaire ne me semble guère à même de rencontrer aujourd’hui, pas plus que les pratiques traditionnelles du métier d’avocat. Avec en outre une attention particulière portée au bien-être des acteurs de justice eux-mêmes: être davantage en paix avec soi-même me semble la condition pour apporter la paix autour de soi.

Si vous aussi,

… vous êtes avocat ou magistrat et vous vous posez des questions sur votre pratique ou votre place dans l’institution…

… vous êtes entrepreneurs et les outils juridiques que l’on vous propose vous paraissent inadéquats et contribuent à créer des litiges plutôt qu’à les éviter…

…vous vous posez des questions sur vos orientations de vie, privée ou professionnelle…

Contactez-moi pour explorer ensemble de nouvelles pistes !

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